- Mieux comprendre l’importance de la forme des bio molécules, de leur sens de rotation et la recherche en biologie des informations
- Mieux comprendre les liens entre les émotions et l’ADN, entre le corps et l’esprit.
Quand les émotions renversent notre ADN
"Les visibles dangers nous causent moins d’effroi que les terreurs imaginaires.
William shakespeare"
Dans les origines lointaines du vivant, la peur s’est construite pour assurer la survie des espèces. Elle est donc utile pour informer d’un danger, d’une menace potentielle ou réelle et nous prépare à l’action ou à la fuite.
L’espèce humaine possède un système permettant de « déclencher la peur » au bon moment, au bon endroit, pour gérer de façon immédiate une situation qui le met réellement en péril.
Ce système s’associe à une capacité de stopper la peur lorsque le danger est passé ! Une possibilité de remettre au point zéro, de réinitialiser.
Aujourd’hui, la peur est également une émotion d’anticipation d’un futur immédiat ou plus lointain qui inquiète. Elle est devenue plus subtile, reliée à une appréhension plus ou moins juste « j’ai peur de la séparation, peur de perdre, de l’échec, de mourir, des virus, peur de vivre »…
Il y a par conséquent des peurs qui par leur présence mentale continuent à activer nos systèmes de « réponse à la peur » alors qu’elles n’existent pas ou que nous n’en n’avons plus besoin.
Le fait est que dans notre société, nous développons des peurs qui ne sont plus vraiment destinées à assurer notre survie. Elles sont souvent stimulées par une sur exposition à des informations « qui font peur » ou en réaction à des mémoires de chocs et de blessures anciennes qui ne sont plus d’actualité, à la source de schémas automatiques de comportements réactionnels, stéréotypés.
Des recherches montrent que le système permettant d’arrêter la peur lorsqu’elle devient inutile s’associe à la modification de la structure spatiale de la double hélice de l’ADN de nos neurones, en particulier les neurones du cortex préfrontal. En réalité, la peur modifie la forme que prend notre molécule d’ADN dans l’espace et le retour à une forme « normale » arrête le mécanisme de peur. Ces recherches montrent que la peur modifie la structure spatiale de l’ADN en inversant complètement le sens dans lequel tourne l’ADN.
Si la peur est nécessaire et que le système de réinitialisation fonctionne, tout va bien. Si la peur est inutile, imaginaire, construite dans nos pensées, chronique, et que le retour au point initial ne se fait pas, notre ADN se met à tourner dans le sens contraire de façon chronique et par conséquent, nous aussi!
La valse de l’ADN.
La biologie s’intéresse de plus en plus à la forme, la spatialité, le « sens de rotation » des molécules et le changement de forme n’est jamais anodin en biologie. La lumière permet de distinguer ce « sens de rotation » droit ou gauche de deux molécules. Si la lumière qui traverse une molécule est déviée à droite, la molécule tourne à droite, elle est dextrogyre. A gauche, elle est lévogyre. La nature semble toujours privilégier une forme plus qu’une autre, Lévogyre ou Dextrogyre pour ses molécules biologiques. Les acides aminés n’existent que sous la forme gauche (lévogyre), tandis que les sucres sont présents uniquement sous la forme droite (dextrogyre). La question du pourquoi l’une des deux formes est privilégiée dans le monde du vivant fait l’objet de recherches très poussées depuis quelques années (1)…
Les molécules d’ADN qui portent l’information génétique au sein de nos cellules ont une forme de double hélice Dextrogyre, elles tournent vers la droite (elles dévient la lumière vers la droite et sont donc dextrogyres). C’est l’ADN-B. Il danse en tournant dans le sens des aiguilles d’une montre. Lorsque que cette double hélice tourne dans le sens anti-horaire, à gauche (levogyre) c’est de l’ADN-Z. Une valse à contre sens qui lui donne des propriétés différentes. Un peu à l’exemple de certaines molécules odorantes, comme le limonène, qui selon son orientation droite ou gauche n’a pas la même odeur.
Il est donc admis que l’ADN B est la forme vitale, naturelle et authentique de l’ADN. Il « tourne en spirale » dans le sens des aiguilles d’une montre, comme les boules de cristal du Professeur Tournesol. Il est D dextrogyre.
L’ADN-Z est typiquement une version déformée de l’ADN-B, avec un sens rotatoire opposé, inversé, lévogyre.
(1) « Non-racemic amino acid production by ultraviolet irradiation of achiral interstellar ice analogs with circularly polarized light ». Pierre de Marcellus, Cornelia Meinert, Michel Nuevo, Jean-Jacques Filippi, Grégoire Danger, Dominique Deboffle, Laurent Nahon, Louis Le Sergeant d’Hendecourt, and Uwe J. Meierhenrich. The Astrophysical Journal Letters. , vol. 727 (issue 2), L27 (2011).Voir http://iopscience.iop.org/2041-8205/727/2/L27
"Les récepteurs olfactifs distinguent les molécules chirales"
L’Adn de A à Z.
L’ADN existe sous trois formes : A (en rouge sur le schéma) B (en bleu) et Z (en jaune). L’ADN-B est la forme la plus courante (sens horaire de rotation de la double hélice).
L’ADN-Z en jaune sur le schéma tourne dans le sens antihoraire et est un peu plus long (12 paires de base par tour d’hélice sur l’ADN Z contre 10,5 pour l’ADN-B).
Des premiers travaux avaient montré que l’ADN-Z pouvait se retrouver uniquement dans certaines régions du corps bien définies en n’affectant que certaines séquences d’ADN. Aujourd’hui, nous savons qu’il existe un lien entre l’ADN-Z et certaines maladies, comme le cancer, et des niveaux élevés d’ADN-Z ont été découverts dans le cerveau de personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer.
La forme est essentielle en biologie
Une raison de plus de s’intéresser à la forme et au sens de rotation des molécules en biologie
Récemment, une équipe de chercheurs Australiens (2) a découvert que la peur modifiait profondément la forme de la double hélice de l’ADN des cellules du cortex préfrontal, une partie du cerveau connue pour jouer un rôle majeur dans la réflexion, le jugement, la créativité, la planification, la coordination des activités et la gestion de la peur.
La peur est un mécanisme complexe, parfois utile, mais nous devons avoir la capacité de ne plus avoir peur quand celle ci n’est plus nécessaire. Pour cela, nous disposons d’un processus « d’extinction de la peur », géré par le cortex préfrontal, au cours duquel des souvenirs positifs entrent en concurrence avec les mémoires liées aux sentiments de peur éprouvés par le sujet, ce qui efface la peur qui est en nous.
Les chercheurs ont montré que suite à des peurs répétées, l’ADN-Z augmente dans le cortex préfrontal. Il semble que l’ADN-B se déforme (de forme droite, il devient forme gauche) et se transforme en ADN-Z. Une fois l’événement stressant passé, une enzyme spécifique, ADAR1 est augmentée et transforme l’ADN-Z en ADN-B en redonnant le bon sens de rotation.
(2) Marshall, P.R., Zhao, Q., Li, X. et al. Dynamic regulation of Z-DNA in the mouse prefrontal cortex by the RNA-editing enzyme Adar1 is required for fear extinction. Nat Neurosci 23, 718–729 (2020). https://doi.org/10.1038/s41593-020-0627-5
Le rôle d’une enzyme appelée ADAR1.
Lorsque nous éprouvons de la peur, il y a formation d’ADN-Z car une enzyme, l’ADAR1 reste en sommeil. Puis lorsque la peur disparaît, ADAR1 est activée, se lie à l’ADN-Z, et le ramène à son état initial d’ADN-B. Avec la peur, l’ADN-B devient ADN-Z et grâce à ADAR 1, la peur ayant disparue, le « Z » devient « B ».
Si la peur persiste malgré que l’alerte soit terminée, l’enzyme continue son sommeil, l’ADN-Z se forme en plus grande quantité et il devient impossible de générer des souvenirs positifs venant contrebalancer les mémoires créées pendant les épisodes de peur. On retrouve ce phénomène dans les syndromes de stress post traumatique, mais aussi dans la vie courante, avec des personnes qui ne peuvent plus sortir de cette spirale infernale de la peur. En cas de peur répétée ou traumatique, nous sommes dans l’incapacité de réinitialiser l’état normal B de la structure de l’ADN.
La peur active les gènes impliquées dans la peur
En fait, les gènes impliqués dans la peur d’origine s’associent à l’ADN-Z qui persiste et qui peuvent donc être réactivés en permanence, de façon chronique, dans une spirale infernale, rendant ainsi la peur d’origine de plus en plus forte et moins susceptible d’être contrôlée. Cette situation peut mener à des réactions de peurs exagérées, incontrôlables, très invalidantes, avec comme marqueur la présence excessive d’ADN-Z.
Cet ADN-Z lévogyre en excès n’est pas bon ni pour le corps, ni pour l’esprit et intervient dans le développement possible de pathologies plus ou moins lourdes, un déséquilibre de l’immunité, un état de stress post traumatique…Il est connu que la peur peut diminuer d’environ 30 % nos défenses immunitaires!
D’ou l’idée de trouver un commutateur, qui permettrait une “réinitialisation fonctionnelle”, un retour au point zéro initial des structures d’ADN : une sorte de bouton de mise à jour, de bouton « reset » en quelque sorte, qui stimulerait la transformation de l’ADN-Z en ADN-B.
Le Laboratoire d’Idées développe des recherches avancées en médecine de l’information dans l’objectif de disposer de ce « bouton de réinitialisation ».
Le nouveau Protocole Source OEM (3) agit dans ce sens. Des praticiens ayant suivi cette formation pourrons vous aider à améliorer votre santé, votre bien-être, vous libérer des traumatismes anciens ou plus récents et des peurs qui déstructurent votre biologie et votre état d’esprit.
(3) Le nouveau Protocole Source OEM (P.S.O.E.M.) est la synthèse de plus de 30 années de recherches et découvertes sur les approches énergétiques, physico-énergétiques, psycho-énergétiques, les modèles de la conscience, les théories nouvelles sur l’eau cellulaire et la médecine informationnelle, les connaissances sur les liens entre le vide, l’homme et l’Univers, leurs interconnexions.
P.S.O.E.M. permet une action globale, intégrative, centrée, cohérente, la récupération d’un équilibre vital physique, émotionnel, structurel, énergétique :
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Sous forme de séances sur mesure, le protocole nous aide à évoluer, à retrouver notre alignement, notre « swing authentique » (référence à la légende de Bagger Vance), notre plein potentiel, notre cohérence vitale, « être dans la Zone, le Flow », se sentir bien, libre, en pleine santé, être capable de trouver les solutions, être créatif, « surfer la vie » (référence à Joël de Rosnay).